Et encore, je vous ai pas mis le tee-shirt!
EP Project, fait.
The Broken String, fait.
Grrr..., fait.
Charm School, à faire.
Pour être vraiment exhaustif sur Bishop Allen, il ne manquait donc plus que la chronique de leur premier album Charm School, sorti en 2003.
Un peu d'histoire tout d'abord: Justin Rice et Christian Rudder étaient ensemble à Harvard, et ils faisaient parti d'un groupe de punk hardcore (?!), The Pissed Officers. A ma grande joie, ils décident alors de changer de voie et forment Bishop Allen (du nom de la rue où ils habitaient, Bishop Allen Drive). Entre 2001 et 2002, entre Boston et New-York, ils enregistrent sur ordinateur, dans leurs chambres, ce premier album.
C'est clair dès les premières notes, dès les premières paroles: Bishop Allen, c'est pop, pop et pop avec des textes sympas, burlesques et réalistes. Pop et lo-fi, puisque enregistré avec les moyens du bord, la batterie ayant été ajoutée ensuite en studio. Mais déja tubesque sur quelques titres: Little Black Ache, le plus accrocheur, très rythmé avec son tempo limite hip-hop et sa guitare rock 50's sur la fin ou Busted Heart, clin d'oeil assez évident aux Pixies.
L'atout du groupe, c'est de composer des morceaux tout de suite évidents dès la première écoute mais qui ne lassent pas sur la durée, grâce à la diversité des styles et des instruments. Après les Pixies, ambiance Belle & Sebastian sur Bishop Allen Drive avec les douces voix de Justin et Margaret Miller sur le refrain; les voix féminines dans les choeurs ou en voix principale sont une constante du groupe. Handclaps, sing-along, guitare acoustique, ukulélé (Penitentiary Bound) ou batterie entraînante, guitare électrique sautillante, choeurs féminins (Quarter To Three): Bishop Allen réussit en moins de 40 minutes l'un des premiers albums indie les plus attachants des années 2000, et montrent déjà les premiers signes d'un songwriting riche et varié qui les amènera à sortir en 2006 un Ep par mois.
Bishop Allen: Things Are What You Make Of Them (mp3) via site officiel
Les 4 premiers titres:
Distribué par le groupe uniquement et jamais réédité, l'album est disponible à des prix assez indécents (surtout en période de crise!) sur Amazon. Il est toutefois toujours possible de le commander sur le site du groupe, même s'il faut être patient puisqu'ils l'envoient eux-mêmes et qu'ils sont souvent en tournée. Sinon il est également disponible digitalement sur leur store ou sur iTunes.
The Broken String, fait.
Grrr..., fait.
Charm School, à faire.
Pour être vraiment exhaustif sur Bishop Allen, il ne manquait donc plus que la chronique de leur premier album Charm School, sorti en 2003.
Un peu d'histoire tout d'abord: Justin Rice et Christian Rudder étaient ensemble à Harvard, et ils faisaient parti d'un groupe de punk hardcore (?!), The Pissed Officers. A ma grande joie, ils décident alors de changer de voie et forment Bishop Allen (du nom de la rue où ils habitaient, Bishop Allen Drive). Entre 2001 et 2002, entre Boston et New-York, ils enregistrent sur ordinateur, dans leurs chambres, ce premier album.
Everybody's saying
That I'm not so cool
So I'm going back to charm school
Charm school...
That I'm not so cool
So I'm going back to charm school
Charm school...
C'est clair dès les premières notes, dès les premières paroles: Bishop Allen, c'est pop, pop et pop avec des textes sympas, burlesques et réalistes. Pop et lo-fi, puisque enregistré avec les moyens du bord, la batterie ayant été ajoutée ensuite en studio. Mais déja tubesque sur quelques titres: Little Black Ache, le plus accrocheur, très rythmé avec son tempo limite hip-hop et sa guitare rock 50's sur la fin ou Busted Heart, clin d'oeil assez évident aux Pixies.
L'atout du groupe, c'est de composer des morceaux tout de suite évidents dès la première écoute mais qui ne lassent pas sur la durée, grâce à la diversité des styles et des instruments. Après les Pixies, ambiance Belle & Sebastian sur Bishop Allen Drive avec les douces voix de Justin et Margaret Miller sur le refrain; les voix féminines dans les choeurs ou en voix principale sont une constante du groupe. Handclaps, sing-along, guitare acoustique, ukulélé (Penitentiary Bound) ou batterie entraînante, guitare électrique sautillante, choeurs féminins (Quarter To Three): Bishop Allen réussit en moins de 40 minutes l'un des premiers albums indie les plus attachants des années 2000, et montrent déjà les premiers signes d'un songwriting riche et varié qui les amènera à sortir en 2006 un Ep par mois.
Bishop Allen: Things Are What You Make Of Them (mp3) via site officiel
Les 4 premiers titres:
Distribué par le groupe uniquement et jamais réédité, l'album est disponible à des prix assez indécents (surtout en période de crise!) sur Amazon. Il est toutefois toujours possible de le commander sur le site du groupe, même s'il faut être patient puisqu'ils l'envoient eux-mêmes et qu'ils sont souvent en tournée. Sinon il est également disponible digitalement sur leur store ou sur iTunes.
Album: Charm School (14$ port compris)
Je licke votre blog.
RépondreSupprimerIls sont beaux tous ces EP !
RépondreSupprimerà ce niveau là, c'est même plus du fanatisme ;)
@Dyanna: ?! lick ou like? (parce que ça veut pas dire la même chose ;-)
RépondreSupprimer@Fab: oui, c'est de l'amour!
J'ai bien réfléchi, et je n'ai aucune raison valable pour l'absence de la France de leur tournée européenne. Pas de bol?
RépondreSupprimerEn tout cas, c'est bien dommage pour les français, en live, ils sont incroyables.
(pardon.)
C'est peut-être parce qu'il n'y a qu'un seul fan en France: moi! ;-)
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